Monsieur le président-directeur général, chers collègues, si la situation financière de Radio France reste préoccupante, notamment du fait des complexes travaux de la Maison de la radio, il n'en faut pas moins se féliciter des résultats, en termes d'audience, de ses antennes. Ils marquent une évolution extrêmement positive, à tous égards.
Quelques points nous ont cependant interpellés lors de l'examen du budget de l'année 2017.
Vous avez évoqué, monsieur le président-directeur général, la négociation collective. La question spécifique des musiciens est un peu plus complexe. Pourriez-vous nous en dire un peu plus ?
Vous avez également parlé de l'activité de l'auditorium, en forte progression. C'est une activité quelque peu nouvelle, qui a eu des effets en termes d'organisation. J'aimerais connaître votre sentiment à ce propos, notamment en ce qui concerne l'accueil des publics.
Qu'en est-il des travaux concernant les studios dits « moyens » ? Leur impact financier est important, mais ils auront aussi des conséquences sur la production interne de programmes. Comment l'activité s'organisera-t-elle durant cette période complexe ?
Et où en est le réseau France Bleu ? Il n'y avait plus de directeur, si je ne m'abuse…
Quant à France Info, comment a-t-elle travaillé avec France Télévisions sur le projet d'offre d'information en continu ? Des convergences d'intérêts ou de projets avec le réseau de France Télévisions, ou plus particulièrement de France 3, sont-elles envisageables ?