Je suis un peu contrarié, monsieur Hammadi. Vous ne pouvez pas prétendre que le décret limite le crédit d’impôt aux spectacles d’humour. Je l’ai sous les yeux, ce décret. Il vise « les concerts et tours de chant ; les spectacles d’humour entendus comme une suite de sketchs ou un récital parlé donné par un ou plusieurs artistes non interchangeables ; les comédies musicales et les spectacles lyriques. »
Votre présentation de la situation est pour le moins curieuse.