Je ne veux pas créer de tension. Le Gouvernement vous a indiqué hier qu’il n’était pas favorable à ce que l’on traite le cas de la taxe foncière, ce qui a néanmoins été fait au travers de l’amendement adopté. Je ne reviens pas sur le débat.
Cela dit, monsieur Aboubacar, je veux bien faire un geste supplémentaire. Nous pourrons de toute façon proposer au Sénat de modifier l’amendement adopté hier soir. Je ne vous ai pas caché que je trouvais sa portée trop large mais, pour vous être agréable et puisque vous parlez d’élégance, je retire l’amendement du Gouvernement.