J’ai bien compris que le Parlement dispose, mais ce n’est pas correct, car ce n’est pas conforme à ce qui a été patiemment construit par le ministère de l’agriculture, principal concepteur de la réforme. À présent, bien sûr, bouchée avalée n’a plus de saveur : une fois obtenu le taux de 87 %, on veut ôter des revenus de l’assiette.