Il n'est pas question de remettre en cause les dispositifs en vigueur, mais de s'interroger sur le processus hiérarchique qui relève de l'unité d'engagement de la sécurité publique placée entre les mains du préfet de police et, plus spécifiquement, de veiller à ce qu'il n'y ait pas de contradiction entre la mise en oeuvre de la sécurité sur les sites aéroportuaires et sur ceux n'ayant pas cette qualité. Il n'y aura pas de modification de la fonctionnalité, mais simplement une meilleure coordination. C'est pourquoi nous proposons un délai de trois ans aux termes duquel l'aéroport d'Orly sera totalement intégré au dispositif sur lequel chacun semble s'accorder.