Certains, dans cette salle, s'étonneront de nous entendre insister alors que, de toute évidence, la majorité de cette assemblée a décidé de se soumettre à un texte qui sert l'intérêt particulier de l'actuelle mairie de Paris. Mais c'est que nous prenons de l'avance sur le projet de loi qui viendra vraisemblablement en discussion l'année prochaine. Ainsi, nous profitons des débats d'aujourd'hui pour réfléchir à la façon de moderniser la ville de Paris, et de la sortir de son immobilisme. C'est le préalable au débat réel que nous appelons de nos voeux.
Cela étant, il y a ici un problème très parisien. Je ne voudrais pas, monsieur Mennucci, tirer parti de vos difficultés avec le maire de Marseille…