À l'heure actuelle, les organismes qui gèrent le régime complémentaire, dont un certain nombre transmettent déjà des informations au SNIIRAM, ont besoin de données anonymisées – lesquelles leur sont communiquées par leurs fédérations respectives – dans le cadre de la réflexion qu'elles doivent mener sur la politique de santé. C'est pourquoi je préfère laisser les fédérations s'exprimer sur le sujet.