Un professionnel de l'assurance a publié il y a quelques mois une contribution dans les pages saumon du Figaro, alertant sur l'utilisation que les assureurs pouvaient faire du séquençage génomique. Le croisement de données pourrait aboutir à une remise en cause de la mutualisation des risques au détriment de l'assuré, expliquait-il. Cette position est-elle largement partagée parmi les assureurs ?