Monsieur le secrétaire d’État, je me félicite que le Gouvernement ait pleinement conscience de l’utilité du chèque. Par ailleurs, vous avez rappelé, à fort juste titre, qu’il s’agit d’une spécificité de la France : il est bon que la France fasse aussi valoir ses spécificités. Réduire les risques, éviter les problèmes liés aux chèques impayés – dont je connais l’importance – n’empêche pas de rechercher d’autres pistes que la remise en cause du chèque. J’aimerais savoir dans quels délais les travaux du Comité seront rendus publics et portés à la connaissance de la représentation nationale et de l’opinion publique. Le débat devant les citoyens est essentiel.