Madame la secrétaire d’État, je vous remercie de cette réponse. En clair, les préconisations qui avaient été faites par l’ARS sont remises en cause par l’ouverture d’une nouvelle concertation. Nous ne pouvons que nous en réjouir, car la situation que j’ai décrite, et que vous avez évoquée dans votre réponse, est extrêmement préoccupante, aussi bien pour les personnels que pour la qualité des soins psychiatriques dans les Alpes-Maritimes. Je suis heureux d’apprendre que nous allons écrire une nouvelle page dans l’histoire de cette concertation.