Il s'agit ici de renforcer la répression des menaces proférées contre un policier, un gendarme ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique - particulièrement lorsque ces menaces s'étendent à l'environnement personnel, à savoir à la famille, de cet agent public. Il est donc proposé de punir de trois ans d'emprisonnement – contre deux actuellement – lesdites menaces.