Vient maintenant le moment de vous rafraîchir la mémoire, monsieur le Premier ministre, tout heureux que vous semblez être de loger à Matignon pour quelques semaines. Oui, je vais vous rafraîchir la mémoire, car vous êtes aussi responsable de ce bilan désastreux et de la Bérézina hollandaise. Vous avez été en charge des comptes publics, avec le succès que l’on sait. Vous avez été en charge de la sécurité des Français, là aussi avec le succès que l’on sait.