Revenus au pouvoir, nous ferons de l’apprentissage une priorité : on ne peut en effet continuer à envoyer des générations de jeunes dans le mur du chômage de masse, alors qu’avec l’apprentissage, en ayant en main un métier manuel et technique, on assure un taux de placement sans équivalent dans nos entreprises, quelle que soit leur taille, chez nos artisans ou dans notre industrie.
Oui, pour nous, c’est bien le travail qu’il faut réhabiliter en libérant les énergies et en abandonnant cette masse de normes qui entravent les chefs d’entreprises, les indépendants, les agriculteurs comme les professions libérales.
L’urgence commande également de baisser le coût du travail.