Une gigantesque tromperie pour tenter de faire oublier qu’en France, il y a un problème avec l’immigration. La fermeture de la « jungle » de Calais n’a rien réglé. D’ailleurs, rien ne changera si elle ne s’accompagne pas de vraies décisions, telles que la fermeture des frontières ou encore l’expulsion des clandestins entrés illégalement sur notre sol.
J’aurais pu également évoquer votre politique de destruction de la famille, vos décisions lourdes de conséquences concernant la santé, ou bien encore les choix irresponsables de la diplomatie française en Orient, qui ont entraîné l’instabilité et les conséquences que nous connaissons aujourd’hui…
Monsieur le Premier ministre, je disais en introduction que votre discours de politique générale était un éloge funèbre servant à masquer l’échec de ce quinquennat. Après cinq ans de socialisme, ces cinq derniers mois vont être longs, très longs, pour les Français. Une seule chose peut cependant nous rassurer : le fait que ces cinq mois seront les derniers !