Vous avez développé un autre raisonnement que M. Jacob a essayé de rendre amusant – mais pour être drôle il faut de temps en temps oublier d’être agressif, c’est pourquoi il a raté son but – tendant à prouver que les déficits n’avaient pas diminué. Là aussi, permettez-moi de rappeler quelques éléments. Lorsque nous sommes arrivés aux responsabilités en 2012, le déficit budgétaire de notre pays était de 5,2 %, et il avait même atteint plus de 7 % dans les deux années précédant votre départ du pouvoir !