Celle de l’agonie d’une ville, d’un massacre systématisé, d’une guerre au-delà de la guerre. Alep est une ville encerclée, sciemment affamée, scientifiquement pilonnée. Les troupes de Bachar Al-Assad et ses alliés russes ont délibérément détruit tous les hôpitaux, interdisant même la prise en charge des blessés. Alep n’est plus une ville ; c’est un piège, une souricière. Ce n’est pas une guerre, ce n’est même plus une boucherie, c’est une extermination planifiée.