Monsieur le Premier ministre, hier après-midi, votre discours de politique générale a particulièrement mal traité de deux sujets pourtant cruciaux pour notre pays : l’éducation et la famille.
Vous n’avez évoqué que très rapidement l’éducation en la réduisant à une approche purement quantitative et budgétaire. Pourtant, les comparaisons internationales, comme l’enquête PISA – Program for International Student Assessment –, publiée la semaine dernière, montrent bien que ce n’est pas le niveau des dépenses qui compte mais la bonne utilisation des moyens.