Le problème, nonobstant les dogmes et la volonté d'affichage, c'est que nous avons voulu refaire passer une disposition « retoquée » pourtant l'an dernier par le Conseil constitutionnel. C'est comme si nous lui disions : « Nous avons raison, vous avez tort, il va falloir que vous changiez de vision ! » Agissant ainsi, nous affaiblissons le Parlement. Avec ces dispositions, M. Galut et Mme Berger ont affaibli l'ensemble des parlementaires. C'est inacceptable.