Ce débat n'oppose pas lobbyistes et adversaires des chambres de commerce. Pour avoir échangé avec la CCI de Paris, j'en appelle à la prudence : le fonds de roulement des chambres de commerce a été lourdement ponctionné – à raison ou non – et elles ont franchi cette marche pourtant très haute. Nous commettrions une erreur en en rajoutant une couche, si j'ose dire, si nous ignorons dans le même temps ce que l'État – donc leur tutelle – souhaite précisément faire les concernant. La CCI de Paris, par exemple, propose une offre d'enseignement très importante que personne ne conteste. Dans ces conditions, je soutiens l'amendement de M. Lefebvre, que j'ai cosigné.