Pour Action logement, il s'agit d'une perte sèche de 133 millions d'euros. Or, l'accord de 2005 prévoyait que 80,25 % du produit de la taxe sur les locaux à usage de bureaux en Île-de-France lui seraient affectés. C'est donc un tour de passe-passe au détriment d'Action logement et, indirectement, de la rénovation urbaine, puisque le financement de l'ANRU diminuera d'autant.