Dans la presse azerbaïdjanaise en général, mais pas dans les journaux indépendants – du moins, pas à ma connaissance. Un journal comme Azadlig n'a donc pas accès aux annonceurs, ce qui le prive d'une partie de ses revenus. Comme vous l'a dit Mme Lavigne, les autorités font aujourd'hui pression sur les personnes ayant publié des petites annonces dans Azadlig, en leur reprochant d'avoir participé à un financement illégal du journal.