En Azerbaïdjan, la diffamation est passible de trois ans de prison. Depuis 2013, cette mesure a été étendue aux contenus d'internet. En outre, l'usage d'un pseudonyme est en passe de devenir une circonstance aggravante dans toutes les affaires de diffamation ou de contenu jugé illégal par les autorités. Toute atteinte à l'honneur et à la dignité du président est passible d'une peine de deux ans de prison. Un amendement a été déposé le 15 novembre dernier, afin d'étendre l'application de la mesure à la sphère internet.