Les autorités françaises ne font pas suffisamment pression sur l'Azerbaïdjan. Nous leur sommes très reconnaissants d'octroyer des visas à des journalistes ou à des défenseurs des droits de l'Homme qui sont en danger, et qui peuvent ainsi gagner notre pays pour y déposer des demandes d'asile. C'est important, et il faut continuer de le faire. Dans ce cadre-là, nous avons des échanges de bonne tenue avec les autorités françaises. Cependant, en matière de plaidoyer politique, il conviendrait d'être beaucoup plus ferme et critique vis-à-vis des exactions commises par les autorités azerbaïdjanaises.