Non, mais je peux le retrouver. Cela nous avait beaucoup frappés.
Le régime azerbaïdjanais est encore très marqué par le régime soviétique et il existe une crainte réelle que l'ouverture économique s'accompagne d'ouverture démocratique et de plus grandes libertés pour la population, ce que le pouvoir ne souhaite en aucun cas. En conséquence, l'ouverture économique s'accompagne en réalité d'un accroissement de la répression. On observe également cela dans d'autres pays. Il se produit un effet de balancier extrêmement toxique qui ne correspond pas du tout à la manière dont, en France, nous voyons l'ouverture économique. Jamais Amnesty International ne demande le boycott, économique ou sportif, d'un pays. Nous demandons au contraire que l'ouverture économique s'accompagne d'une amélioration équivalente en matière de droits humains et de libertés.
Je ne peux vous répondre sur la politique régionale, car je n'ai pas les compétences, mais je me renseignerai auprès de nos chercheurs et nous vous adresserons une note.