Nous avons envoyé un communiqué de presse à tous les médias, mais je ne saurais dire si L'Équipe l'a repris ou non.
Nous avions contacté le président du comité d'organisation, qui nous a répondu en citant la charte olympique et en expliquant que le comité veillerait à son respect, mais nous n'avons pas eu de rendez-vous. Le rapport a été très bien reçu en Allemagne, il a été assez bien couvert dans les pays européens, mais je ne sais pas ce qu'il en est au-delà.
Nos espoirs sont fondés sur les pressions que peuvent exercer des États comme la France en bilatéral. C'est un axe cardinal de notre action. Nous ne demandons pas de rompre les relations diplomatiques, de cesser d'investir ou de boycotter un pays, car cela risquerait d'avoir des conséquences dramatiques pour les populations, mais nous espérons que des pays amis pourraient obtenir des effets positifs. Nous ne croyons pas que le fait de ne pas aborder les questions qui fâchent soit le meilleur moyen de faire avancer les choses.