Vous voyez dans le chaînage un risque évident de ré-identification ; pour sa part, la Cour des comptes juge « obsolescent » l'algorithme de cryptage utilisé pour occulter les identifiants nominatifs dans le SNIIRAM. Comment recommandez-vous d'assurer la sécurité du dispositif ? En une période où l'évolution technologique est extraordinairement rapide et où les pirates informatiques s'en prennent même à des systèmes hyper-sécurisés, la multiplicité des portes d'entrée n'accroît-elle pas les risques de divulgation de données confidentielles ou de détournement de fonds publics ?