J'ai considéré qu'il fallait confiner les données dans des espaces confiés à des spécialistes de la sécurité ; c'est ce que j'ai recommandé. Les pirates informatiques qui se cachent derrière le nom de Rex Mundi ont certes piraté Labio, mais ce laboratoire ne respectait pas les règles de sécurité ; je crois qu'il a d'ailleurs été poursuivi pour cette raison. Confier la base de données à des spécialistes de la sécurité et créer, comme le dit la loi, un dispositif prévoyant des habilitations pour l'accès à ces informations et un système de traçage et de surveillance de tous les accès, c'est viser la sécurité maximale.