Je comprends les préoccupations de M. Jean-Luc Laurent, mais notre commission d'enquête en est arrivée, au fil de ses auditions, à la conclusion que l'un des plus gros problèmes en matière d'abattage rituel était l'absence de dialogue.Or il est d'autant plus utile que le dialogue puisse s'établir au niveau local que nous avons constaté que l'approche de l'abattage rituel pouvait diverger selon les mosquées, certaines tolérant même l'étourdissement.