…j’ai parfaitement pris la mesure de la situation et j’ai apporté des réponses.
Mais, monsieur le député, dans un débat où, si l’on peut faire appel à l’émotion, il est important de faire preuve de compréhension, vous omettez de rappeler que si la question de l’agriculture se pose avec une telle acuité, c’est que les marchés agricoles et alimentaires évoluent, et ce n’est pas le ministre en poste aujourd’hui qui en est responsable. Prenons l’exemple des céréales.