Sur ces marchés, monsieur le député, lorsque les prix baissent de 30 %, voire de 40 %, qu’un aléa climatique s’ajoute à la baisse de la production et que des crises sanitaires comme la grippe aviaire ou la fièvre catarrhale ovine se cumulent, l’État se doit, à travers le ministre de l’agriculture, d’être présent. C’est ce qu’il a fait en engageant plus de 1,5 milliards d’euros, à travers deux plans, toujours avec le souci d’apporter des réponses concrètes aux difficultés que rencontrent les agriculteurs.
On peut tous dire « Y’a qu’à…, on trouvera des solutions ». Cette détresse nécessite un travail de longue haleine, monsieur le député. Et lorsque j’ai fait voter la loi d’avenir pour l’agriculture…