Elle a par la suite précisé que ce souhait ne visait que les « enfants de clandestins », dont les parents ne devaient plus s’attendre à ce que leurs enfants soient « éduqués gratuitement », en ajoutant : « maintenant, c’est la fin de la récréation ». Ces propos sont inacceptables. Ils ne nous surprennent cependant guère de la part d’un parti qui coupe les subventions aux associations culturelles et qui piétine tout ce qui permet de faire société dans les villes où il est au pouvoir.
Madame la ministre, votre réaction a été des plus dignes.