Je ne renouvellerai pas les remerciements que j’ai adressés tout à l’heure. Je voudrais juste faire une remarque.
Comme vous le dites, monsieur le président de la commission des finances, nul ne sait ce que l’avenir nous réserve, collectivement et individuellement. Ce que je retiens quant à moi de ces dernières années, deux en tant que rapporteur général et trois en tant que secrétaire d’État en charge du budget, c’est que nos méthodes d’examen des textes financiers ne sont pas ce qu’elles devraient être, quels que soient les efforts et la qualité du travail, qui ont été salués.
Pardon de personnaliser ainsi les choses, mais je dois vous dire que nous examinons ensemble deux textes financiers : la loi de finances initiale et la loi de finances rectificative. Nous le faisons à deux reprises. J’ai personnellement la chance – ou la malchance ! – de le faire aussi au Sénat. Toujours, même si je n’y participe pas régulièrement, ces débats sont précédés de réunions en commission.