Quatrièmement, qui peut oublier aussi que nous avons conduit ce que j’ai l’habitude de présenter comme un travail de bénédictin : la réforme des valeurs locatives des locaux professionnels ? Elle provoque certes des craintes, mais n’était-elle pas nécessaire, pour des raisons d’équité, puisque l’application d’une base de valeurs locatives remontant aux années soixante-dix et peu réactualisée depuis lors conduisait certains, à produit égal, à payer de façon injuste à la place des autres ? Cette réforme a été conduite par l’administration. Nous l’avons retardée d’un an, c’est vrai, pour lui apporter des modifications, parce que changer les valeurs locatives provoque toujours des mouvements qu’il faut appréhender et parfois lisser ou adoucir.
La cinquième réforme, que vous avez adoptée, porte sur l’économie collaborative, phénomène du moment.