Ce secteur se développe de façon exponentielle, qui peut le regretter ? Les plus jeunes de nos concitoyens, mais pas uniquement eux, souhaitent le développement des échanges de biens, de services, de pratiques. À l’origine d’une véritable interrogation, la relation entre employeurs et salariés change dans notre monde. Uber n’en est pas le seul exemple : sous l’expression « "ubérisation" de la société » se cache une évolution phénoménale et fondamentale. Nous avons posé les jalons d’une adaptation – des cotisations sociales, de l’impôt – qui permet de donner des devoirs à chacun mais aussi d’ouvrir des droits – à la retraite, à l’assurance maladie – à ceux qui tirent leurs revenus de l’utilisation de ce nouveau secteur économique.