Je tiens à évoquer deux sujets.
En premier lieu, c’est vrai, et il faut s’en réjouir, les déficits publics ont été réduits entre 2012 et 2016. Alors qu’ils excédaient 5 points de PIB, nous espérons tous qu’ils tomberont à 3,3 points. À plusieurs reprises, j’ai reconnu à cette tribune que des efforts réels ont été accomplis pour maîtriser la dépense.
Cependant, monsieur le secrétaire d’État, dans une démocratie mature où chacun d’entre nous doit essayer d’être un peu objectif, votre propos prendrait plus de relief si vous rappeliez que, sous la précédente législature, nous avons subi une crise financière d’une violence inouïe.