Il faudra passer, un jour, à des budgets genrés, accordés en fonction du critère de l'égalité femmes-hommes ou de la lutte contre le sexisme, comme c'est le cas dans certaines collectivités locales, et envisager une baisse du budget en cas de dérapage.
Je vais maintenant donner la parole à Mme Marie-Noëlle Bas, présidente de l'association « Les Chiennes de garde » depuis 2012, qui remet chaque année un prix « Macho » et intervient sur les publicités sexistes en France, avec d'autres associations à l'international, en Italie ou en Grande-Bretagne.