La politique azerbaïdjanaise de la Russie serait dictée par le fait que le régime Aliev constitue un rempart contre l'islamisme. Le président Aliev ne s'est pourtant pas privé de faire appel à la solidarité musulmane face à ce qu'il appelle « l'agression arménienne ». Jusqu'à quel point peut-il s'engager dans cette voie sans cesser de tenir le rôle de rempart que lui attribue selon vous la diplomatie russe ?