S'agissant de ce chantier sur lequel la CNIL avait insisté, l'étude est lancée, mais le travail va effectivement occuper les deux ou trois prochaines années. Si l'application aux nouveaux flux d'un nouveau système de pseudonymisation ne pose pas de problème, la reprise du stock, notamment des trois flux qui nous arriveront au premier semestre 2017, représente un travail de fond colossal.