Parmi les préconisations formulées par la Cour des comptes pour garantir la qualité du « coffre-fort informatique » figurait le classement de la CNAMTS parmi les opérateurs d'importance vitale. Comment se traduirait-il concrètement au niveau réglementaire et quels moyens techniques, humains et financiers requerrait-il ? J'ai cru comprendre qu'il y faudrait une vingtaine de millions d'euros ; confirmez-vous ce chiffre ? Vous me renverrez sans doute vers le directeur général de la CNAMTS, mais la DREES pourrait avoir son idée à ce sujet. Je songe aussi aux implications de la modification des algorithmes.
Je comprends que la reprise du stock représente un travail considérable, mais le délai de deux à trois ans que vous évoquez suscite l'interrogation alors que les attaques informatiques se multiplient et qu'il est difficile d'en identifier l'origine dans un univers totalement dématérialisé.