Ma réponse était plutôt faite en termes de santé publique, donc en termes statistiques, plutôt qu'en termes d'individus. C'est dans ce domaine que les bases de données médico-administratives sont les plus adaptées. Les organismes d'assurance maladie peuvent ensuite avoir toute liberté pour travailler à un niveau plus fin. Mais à mon avis les études et les recherches porteront sur des questions populationnelles ; c'est le sujet de ces bases et c'est une bonne chose.