Si la collecte des informations est de qualité et le seuil critique statistique atteint, et si des logiciels d'aide à la prescription validés par la Haute Autorité de santé (HAS) sont utilisés pour optimiser le rapport coût-efficacité, on pourra, par croisements, constater quelles pratiques ne sont pas conformes aux règles et à la déontologie médicale. Articuler ces données incontestables permettrait, sans faire de classification, d'éclairer les citoyens sur la qualité de la prestation de soins financée par les deniers publics qui leur est fournie.
Nous sommes dans une période intermédiaire et les futurs co-présidents et rapporteurs de la MECSS, quels qu'ils soient, souhaiteront vraisemblablement vous recevoir à nouveau à l'automne prochain. Dans l'intervalle, avez-vous d'autres commentaires à faire ?