La prise en charge du transport s'élevait à 600 euros. Le coût du billet d'avion étant de 650 euros environ, on peut considérer que ces Jeux n'ont pratiquement rien coûté à la délégation française.
Par ailleurs, il existait un système de prime à la performance. Ainsi, chaque comité national olympique dont un athlète remportait une médaille d'or recevait une certaine somme. Pour douze médailles d'or, le CNOSF a reçu environ 100 000 euros, qu'il a entièrement reversés aux fédérations récompensées à Bakou. Le CNOSF est en effet en relation non avec les athlètes, mais avec les fédérations, à qui il a signifié qu'elles étaient libres de disposer de ces sommes comme elles l'entendaient. Certaines ont redistribué la totalité des primes aux athlètes, d'autres – les moins riches – la moitié seulement, en considérant que la préparation avait un coût.