Aujourd'hui, grâce aux séquenceurs, nous avons une grande connaissance du génome et, notamment, d'un certain nombre de gènes qui peuvent conduire à des maladies. Cette connaissance est régulée par la loi, offrant la possibilité de faire des tests prénataux, interdits au stade d'un embryon. Mais nous arrivons à une certaine aberration quand nous interdisons d'avoir une connaissance générale du génome lors d'un DPI, alors qu'avec les tests prénataux, nous avons cette même connaissance dans les trois premiers mois de la grossesse. Avez-vous déjà abordée cette question ou attendez-vous que le Parlement s'en saisisse ?