Pour autant, cela n'interdit pas qu'on veille à mettre un terme à tous les abus auxquels elle est exposée et à instaurer l'égalité des droits dans la société.
Et ce n'est pas parce votre raisonnement ne tient pas qu'il faut que vous interprétiez le mien. Nous avons des désaccords, nous les constatons constamment, mais en général vous travaillez sur le fond du texte. Je vous ai entendu à plusieurs reprises, suite à mes observations, reconnaître que vous vous étiez trompé – ce qui n'était d'ailleurs pas indispensable puisque vous auriez très bien pu ne pas répondre. Vous avez ainsi poussé l'honnêteté jusqu'à reconnaître par exemple que c'était une erreur de ne pas avoir déposé d'amendement à l'article 370 du code civil. J'avoue, humblement, que j'y prends plaisir. Ne changez pas, monsieur Mariton ! (Sourires.)
Avis défavorable sur ces amendements.