Nous n'avons pas de contact avec d'autres hébergeurs. L'important pour nous est de pouvoir diffuser nos données et de permettre à nos utilisateurs de les apparier avec les données de santé. Cela signifie qu'il va falloir réfléchir avec le SNDS aux mesures de sécurité à adopter, car ça ne peut pas être « ceinture et bretelles », c'est-à-dire un double contrôle, ex ante et ex post. Il va donc falloir nous accorder sur un dispositif commun, qui devra être agréé par la CNIL, le comité du secret scientifique et la statistique publique européenne.