il a été décidé d’agir par le biais de nos agences : l’ANRU pour la rénovation urbaine et l’ANAH pour l’habitat. Plus d’une cinquantaine de quartiers anciens dégradés bénéficient désormais, outre du Programme national de requalification des quartiers anciens dégradés, du Programme national de renouvellement urbain – quarante quartiers. La coopération entre les deux agences a été renforcée par le biais de conventions nouvelles d’objectifs. S’agissant du FISAC, une enveloppe dédiée lui sera consacrée. Enfin, le dispositif « Malraux », désormais élargi aux quartiers anciens dégradés, permet de nouvelles réductions d’impôt.
J’ajoute que nous coordonnons nos interventions en nous appuyant sur les élus locaux, notamment à l’échelle intercommunale parce que c’est un niveau important pour traiter de l’aspect commercial que vous évoquez.
Il s’agit d’un sujet important pour le Gouvernement parce qu’il faut préserver l’histoire de nos quartiers anciens dégradés : c’est une manière de partager un destin commun.