Il s’agit de ratifier l’accord sur les services de transport aérien signé en novembre 2012 par la France et la République gabonaise et adopté par le Sénat deux ans plus tard. Cet accord abroge et remplace celui conclu à Libreville le 18 février 1977. D’ordre technique, il ne pose pas de problème particulier et vise à faciliter les relations aériennes entre la France et le Gabon. M. le rapporteur, mon ami Philippe Baumel, auquel j’adresse mes félicitations pour avoir réussi à analyser cet accord dans le délai excessivement court qui lui a été généreusement octroyé, ayant déjà explicité le détail de cette convention aérienne, je n’y reviendrai pas.