Nous nous trouvons donc à la croisée des erreurs : la soumission de la France à des technocrates plutôt qu’à l’intérêt de la civilisation européenne ; le néolibéralisme transformé en doctrine de dictature des marchés sur les choix politiques et préemptant l’intérêt national ; des adversaires de l’influence française grimant leurs agissements en idéologie des droits de l’homme.
Ce texte satisfera donc la Commission européenne. Et c’est d’ailleurs la seule raison de sa discussion. Quel aveu de faiblesse de notre politique européenne et africaine !