On constate en effet que ses raisonnements sur l'homoparentalité reposent sur des présupposés parfaitement contestables. Il indique également avec franchise récuser « que le débat soit abordé sous un autre angle qui se résumerait ainsi : dans quelle mesure l'orientation homosexuelle des parents représente-t-elle un danger pour le développement de l'enfant ? » Et d'ajouter : « Évidemment, je suis incapable d'évaluer qui que ce soit dans ce domaine. »
Ces déclarations sont de nature à éclairer nos débats, car, si nous, députés UMP, n'obtenons que peu de réponses, voire plus du tout, de la part du Gouvernement, en tout cas de la ministre de la famille, nous n'en obtenons pas davantage de la part…