Merci pour cet exposé liminaire.
Je souhaiterais obtenir quelques éclaircissements sur les conseils de chefs d'entreprise de MEDEF International. Quelles relations régulières avez-vous avec le ministère des affaires étrangères, la direction générale du Trésor, l'Agence française de développement (AFD) et la Coface, ainsi qu'avec l'ambassade d'Azerbaïdjan en France et l'ambassade de France en Azerbaïdjan ?
Estimez-vous aujourd'hui que l'action des entreprises en Azerbaïdjan est autonome, c'est-à-dire déconnectée des relations avec les administrations, qu'elles soient françaises ou azerbaïdjanaises ? Quant à vos relations avec les entreprises azerbaïdjanaises, sont-elles liées au soutien que vous avez de la France, de ses autorités, et de l'Azerbaïdjan ?
Estimez-vous que la stratégie française vis-à-vis de l'Azerbaïdjan soit suffisamment intégrée et efficace ? Je me réfère à l'engagement, somme toute assez modeste, de l'AFD en Azerbaïdjan : 112 millions d'euros. Considérez-vous qu'une amélioration soit nécessaire ?
Par ailleurs, lorsque l'Azerbaïdjan fait paraître dans la presse française des publi-reportages, en passant naturellement, pour cela, par une agence de communication, êtes-vous associés à la conception de ces publi-reportages ?
Enfin, bien que vous ayez avoué n'avoir pas encore acquis une expérience considérable en Géorgie, je vous demanderai ce qui, selon vous, rapproche – ou différencie – le conseil France-Azerbaïdjan du conseil France-Géorgie ? Y a-t-il des leçons à retenir de ce dernier pays pour essayer de faire changer les choses – le cas échéant – en Azerbaïdjan ?